Le Vent de la Révolte
sur Black Book Edition au format (3.3 Mo)
Contient : hommes (32)(...) L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le gouverneur tient de plus à occuper ceshommesrudes, car les notables de Kingston ont encore en mémoire le comportement dépravé et violent des flibustiers du siècle dernier. (...)
Les personnages-joueurs : Les personnages-joueurs fournis avec ce scénario sont tous membre de l'équipage de la frégate corsaire Myrmidon, commandée par le capitaine James Taylor. Ce sont des marins confirmés, qui sauf exception connaissent bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. Si vous n'avez pas le temps de lire en détail le background des cinq PJ-tirés, prenez au moins connaissance de leurs Caractéristiques et Compétences, afin d'avoir une idée de leurs forces et faiblesses), ainsi que des « Secrets » de chacun d'entre eux. (...)
Pour les marins du Myrmidon, pas question de se séparer. Les durs combats livrés sur mer ont renforcé la cohésion deshommes, les conditions de vie et la discipline sont moins rudes ici qu'à bord des navires de guerre, les officiers (et le chirurgien) sont compétents... et puis il y a ce sentiment diffus mais bien présent : sans leur navire, sans les combats et les victoires, les gars du Myrmidon ne sont rien. (...)
De l'avis du capitaine, c'est toujours mieux que rien pour l'instant, en attendant de décider du sort du Myrmidon et de seshommesd'équipage. Non, gentlemen, quoi qu'il arrive, le navire ne sera pas vendu, et son équipage encore moins dispersé aux quatre vents, le capitaine en fait le serment ! (...)
Le nouveau gouverneur, Peter Heywood, semble ne pas bien apprécier ceux qui violent le traité de paix... Le second navire est plus anodin : affrété par les marchands de Kingston, il repart tout simplement pour l'Angleterre, chargé de rhum, de coton et de sucre. Lorsque les PJ apprennent cela au capitaine, celui-ci ordonne à tous leshommesd'équipage de garder profil bas (et mieux que la dernière fois !), et surtout de camoufler l'existence de la cargaison. (...)
Un accueil glacial : A terre, l'accueil n'est pas des plus chaleureux en effet. Personnages désormais louches et interlopes, leshommesdu Myrmidon sont mal vus à terre, et personne ne le leur cachera. Les PJ n'auront pas le temps de chômer, Taylor ayant une nouvelle mission pour eux : prendre secrètement contact avec les marchands de la ville, deshommesjugés fiables, pour en trouver deux ou trois susceptibles d'acheter rapidement et discrètement la cargaison du navire. Bien sûr, il faudra aussi s'assurer que ces contacts évite de vendre la mèche ! (...)
Trahison : Nouvelle surprise : Alors que les PJ se désolent de trouver un marchand prêt à acheter leur cargaison illégale, ils sont rejoint par le jeune commis d'un de leurs contacts en ville : certains marchands de la ville, désireux d'entrer dans les petits papiers du nouveau gouverneur, parlent déjà d'informer le gouverneur de la nature illégale de la cargaison du Myrmidon, si ce n'est déjà fait ! Dans ce cas, les soldats de la ville se verront vite donné l'ordre d'arrêter Taylor et seshommes, pour répondre de leurs actes (l'accusation de piraterie et la corde ne sont pas loin). Il faut partir, et vite, et pour cela, il faut d'abord prévenir l'équipage. (...)
L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le Myrmidon : Angus Mills fait justement partie de l'un de ces navires corsaires, le Myrmidon, une frégate armée pour la course. Marin confirmé, il connaît bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. L'évocation du Myrmidon et de ses succès va de pair avec celle de son capitaine, James Taylor, un ancien flibustier de 45 ans au regard gris acier, célèbre pour ses colères et pour l'allure de prêtre de l'Enfer que lui donne son éternel manteau noir (qu'il dit tenir du grand Henry Morgan lui-même). (...)
A force de travail acharné, il est parvenu au poste de quartier-maître, un rôle qui lui convient tout à fait, car il le place à mi-chemin entre le commandement et leshommesd'équipage. Ses compétences et son expérience ont fait de lui l'un des marins les plus respectés du bord, et il sait que les autres matelots apprécient ses interventions en leur faveur, ainsi que sa justesse. (...)
... Jack Turner (maître-canonnier) : nouveau aussi, il faudra veiller à ce qu'il trouve sa place à bord. Espérons que leshommesl'apprécieront autant que l'ancien ! Isaac Martins (Second) : L'époque : « La paix ne dure guère plus de cinq années. (...)
L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le Myrmidon : Isaac Martins fait justement partie de l'un de ces navires corsaires, le Myrmidon, une frégate armée pour la course. Marin confirmé, il connaît bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. L'évocation du Myrmidon et de ses succès va de pair avec celle de son capitaine, James Taylor, un ancien flibustier de 45 ans au regard gris acier, célèbre pour ses colères et pour l'allure de prêtre de l'Enfer que lui donne son éternel manteau noir (qu'il dit tenir du grand Henry Morgan lui-même). (...)
Que cela soit vrai ou non, Taylor a la réputation de porter chance à son équipage, et de faire corps avec son navire... Apparence : Isaac Martins est un homme élégant et élancé, dont les manières et les vêtements de bonne facture semblent toujours un peu décalés au milieu des trognes rudes et des tenues simples deshommesd'équipage. Peut souriant, il garde souvent un air un peu condescendant sur le visage. Poste à bord : « Le second (« premier lieutenant » sur un navire de guerre) est responsable à bord des manoeuvres nautiques. Il transmet les ordres évasifs du capitaine (et ne s'adresse jamais directement auxhommes), mais ne se contente pas de cela : il détaille au maître d'équipage les tâches qui doivent être réalisées, sans toujours en saisir la finalité : ce n'est que par l'exécution d'ordres apparemment sans lien que se réalise une stratégie et qu'apparaît au grand jour le génie du capitaine. (...)
Les seconds incompétents ne font pas longtemps illusion avant d'être marronnés. Un ordre irréfléchi ou inadéquat peut faire sombrer le navire et coûter la vie à bon nombre d'hommesd'équipage. Sur les navires de guerre, le second peut rester à son poste jusqu'à l'âge de la retraite sans jamais atteindre le grade de capitaine. (...)
Pourtant, après un premier contact souvent glacial, on découvre un homme compétent et perspicace, doté d'un sang-froid appréciable dans le feu de l'action. Leshommesd'équipage apprécient les décisions rapides, émanant d'officiers qui n'hésitent jamais. Et le second Isaac Martins ne connaît pas le doute. (...)
L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le Myrmidon : John Appleton fait justement partie de l'un de ces navires corsaires, le Myrmidon, une frégate armée pour la course. Marin confirmé, il connaît bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. L'évocation du Myrmidon et de ses succès va de pair avec celle de son capitaine, James Taylor, un ancien flibustier de 45 ans au regard gris acier, célèbre pour ses colères et pour l'allure de prêtre de l'Enfer que lui donne son éternel manteau noir (qu'il dit tenir du grand Henry Morgan lui-même). (...)
Il est aussi responsable du maintien de l'ordre au milieu de la terreur et de la fumée qui règnent dans l'entrepont, tout en rassurant leshommes- coupés du reste de l'équipage - en les tenant informés de la situation. Il informe ses supérieurs d'une éventuelle carence enhommes, des dégâts subis par la batterie ou de l'apparition de voies d'eau. Lorsque le navire n'est pas impliqué dans un combat, le canonnier dirige les exercices afin d'aguerrir les artilleurs et leur donner les automatismes nécessaires dans le feu de l'action, un entraînement indispensable mais qui coûte cher en poudre et en boulets. (...)
Au combat, il agit vite et hurle ses ordres avec frénésie. Membre éminent du commandement, il est toutefois resté proche deshommesd'équipage, car il comprend mieux leur univers. Ambitieux, il rêve de se voir confier la batterie d'un trois-ponts de la Navy, mais ne quitterait pour rien au monde le Myrmidon... Appleton ne s'occupe pas vraiment de ce que les gens pensent de lui. (...)
Il souhaite avant tout qu'on le respecte en tant que professionnel. Pour le reste, peu importe. Il sait toutefois qu'il est apprécié deshommesd'équipage, parce qu'un jour il a effectué les mêmes travaux harassants qu'eux. En retour, il ne perd jamais une occasion de transmettre son savoir et de former ses artilleurs : leurs compétences sont aussi sa fierté. (...)
L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le Myrmidon : William Snow fait justement partie de l'un de ces navires corsaires, le Myrmidon, une frégate armée pour la course. Marin confirmé, il connaît bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. L'évocation du Myrmidon et de ses succès va de pair avec celle de son capitaine, James Taylor, un ancien flibustier de 45 ans au regard gris acier, célèbre pour ses colères et pour l'allure de prêtre de l'Enfer que lui donne son éternel manteau noir (qu'il dit tenir du grand Henry Morgan lui-même). (...)
Secret : Pour le compte du gouverneur, Snow est chargé de surveiller l'équipage et de découvrir si les rumeurs faisant état de cargaisons détournées sont vraies. Le capitaine et seshommesn'auraient en effet pas hésité à cacher une partie des cargaisons prises sur les navires attaqués, divisées normalement entre l'équipage, l'armateur et l'Etat. (...)
Le pilote compte bien récupérer la récompense promise, mais il hésite sur la véritable conduite à tenir : mener sa mission à bien... ou tout révéler d'emblée au capitaine afin de gagner sa confiance ? Citation : « Un peu plus à l'ouest... » Ce qu'il sait/pense de... ... James Taylor (capitaine) : seshommesle craignent et sa réputation est bien établie, c'est donc un bon capitaine. ... Iaac Martins (second) : le bras droit du capitaine. (...)
L'Autriche, la Hollande et l'Angleterre déclarent la guerre à la France et à l'Espagne afin d'empêcher l'union des deux royaumes qui doit se réaliser à la montée du petit-fils de Louis XIV sur le trône espagnol. La France et l'Angleterre ne peuvent pas compter sur leur flotte, dont leshommesont été décimés en temps de paix par les épidémies. Les deux puissances doivent s'appuyer sur les corsaires pour mener la guerre. (...)
Avec l'accord tacite du gouverneur, les corsaires qui travaillaient sous ses ordres ne se sont pas privés pour prolonger les hostilités un peu plus que nécessaire... Le Myrmidon : Jack Turner fait justement partie de l'un de ces navires corsaires, le Myrmidon, une frégate armée pour la course. Marin confirmé, il connaît bien la plupart deshommesdu navire, à part les nouvelles recrues. L'évocation du Myrmidon et de ses succès va de pair avec celle de son capitaine, James Taylor, un ancien flibustier de 45 ans au regard gris acier, célèbre pour ses colères et pour l'allure de prêtre de l'Enfer que lui donne son éternel manteau noir (qu'il dit tenir du grand Henry Morgan lui-même). (...)
Il veille à l'approvisionnement en gargousses de poudre et à l'entretien des braseros destinés à chauffer les boulets rouges. Seshommes(la seconde bordée de l'équipage) sont répartis en petites unités servant chacune une pièce d'artillerie, auxquelles il transmet en les précisant les ordres du canonnier, tout en corrigeant leurs erreurs. (...)Scénario écrit spécialement (et avec rage) pour le tournoi de l'INSA de Lyon (le TIL), passionnément organisé par le CLUJI les 8 et 9 avril 2005. Par Raphaël Bombayl. Introduction : Avant-propos : WanTIL ! Ce scénario pour Pavillon Noir a été spécialement écrit pour l'édition 2005 du Tournoi de l'INSA de Lyon (TIL) : « WanTIL : pour une poignée de dés » (8 et 9 avril 2005). Il s'agit donc d'un scénario de tournoi, jouable en 6 à 8 heures, et accompagné de cinq personnages-joueurs pré-tirés ...