Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : japonais (10)(...) De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi lesjaponaisont l'habitude de tenir leurs éventails ou leur main près de leur bouche lorsqu'ils parlent ou rigolent. (...)
Une des plus grandes marques de confiance qu'un Daimyo peut accorder est le droit de venir en sa présence en étant complètement armé. Contempler les têtes : LesJaponaisont un mot pour désigner les têtes fraîchement coupées: ils les appellent Nantakubi. Dans les batailles importantes, un samouraï peut couper la tête d'un ennemi célèbre. (...)
Un an passa et il ne revint pas. Deux ans passèrent et il ne revint pas. Trois ans passèrent et sa tête revint". Voyager : Tous lesjaponaisse déplacent à pied. Seuls les nobles et les samouraïs en mission officielle ont le droit de chevaucher sur les routes. (...)
C'est à peu près l'équivalent de la dot d'une fiancée. Les Torii : L'un des éléments architecturaux les plus caractéristiques des temples et palaisjaponaisc'est le torii ou tori. Ce sont une sorte de portail monumental situé devant le temple ; planté parfois dans un lac ou jaillissant de la mer, il est toujours en bois, quelque fois peint en rouge ; il indique l'entrée de l'enceinte sacrée. (...)
Cette cérémonie fut codifiée sous sa forme moderne au Xvème siècle par le Shogun Ashikaga-Yoshinasa, par contre le thé est utilisé par lesjaponaisdepuis le VIIIème siècle. Après avoir repoussé l'invasion mongole de 1281, elle devint une religion de l'art de la vie et fut le prétexte du culte de la pureté et du raffinement. (...)
La cérémonie s'effectue dans la 'Chambre de Thé', endroit considéré comme étant une oasis dans le triste désert de l'existence (c'est beau comme définition, elle n'est pas de moi mais de Okakura Kakuzo). 2) La Chambre de Thé. Lesjaponaisl'appelle le Sukiya ce qui signifie la Maison de la Fantaisie, quant il s'agit d'un pavillon fait à l'extérieur de la maison. (...)
Cette façon d'agir peut se révéler aussi efficace que le recourt à la corruption et est nettement moins dangereux. Un exemple de maison de thé en coupe transversale Le théâtre : Lejaponaisdu moyen age est un grand amateur de spectacles, les marionnettes, les acrobates et les jongleurs attirent les foules. (...)
Les paysannes portaient quant à elles un costume qui n'a que très peu changé si on le compare au costumejaponaistraditionnel d'aujourd'hui : un kimono dont les pans sont croisés et retenus à la taille par une ceinture ; parfois quand il y avait lieu de protéger le kimono, on enfilait une sort de jupe que l'on fixait à la ceinture. (...)
Avec un goût très sûr et un sens de l'esthétique bien propre à cette nation dont les plus grands peintres ne répugnèrent jamais à tracer de quelques coups de pinceaux le vol d'un oiseau ou les branches tourmentées d'un pin sur le kimono de soie fine d'un dignitaire de la cour. Voici par exemple ce que fut le costume d'un dignitairejaponaisdu XIIème siècle - un édit datant de 1212 fut tout spécialement promulgué pour définir en détail les normes de ces tenues de cérémonie. (...)
Dans certains cas on les laisse pendre dans le dos, parfois elles sont fixées au tube vertical. Il était fort inconvenant qu'un noblejaponaisfut aperçu sans son kammuri. Il lui arrivait de la conserver pour dormir, le petit oreiller de bois permettant de maintenir en équilibre ce délicat échafaudage. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...