Légendes du Clan de la Licorne
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Contient : clan (55)Légendes duClande la Licorne Ce fichier s'intéresse à des personnages historiques plus ou moins célèbres, du point de vue de leurs descendants. (...)
Malgré les larmes de sa soeur Doji, Shinjo décida de partir à l'aventure et elle rassembla ses suivants avant de prendre la route. Elle leur proposa de la suivre volontairement et confia les terres duclanà ceux qui souhaitèrent rester en arrière. Avant son départ, Doji et Hantei lui offrirent un miroir magique, dont le pendant resterait à la capitale et permettrait à Shinjo de conserver le contact avec sa fratrie. Ce que l'on sait de la vie de Shinjo après son départ est relaté dans les contes et légendes duclande la Ki-rin puis duclande la Licorne. Malgré les nombreuses incohérences qu'on peut y trouver, plusieurs faits sont devenus incontournables. Shinjo régna sur sa caravane pendant plusieurs siècles, conservant une vigueur et une jeunesse incroyables. Plusieurs peuples parmi ceux que leclande la Ki-rin rencontrèrent leur furent hostiles, mais certaines tribus rejoignirent Shinjo et poursuivirent sa quête. (...)
La légende veut ces enfants aient irradié une sorte de luminescence dorée qui disparut progressivement, témoignage de leurs origines si mystérieuses. Dans leclande la Licorne, on dit que l'un d'entres eux seulement, Shinjo Martera, a conservé forme humaine alors que les autres ont choisi une vie de chevaux et sont devenus les ancêtres des légendaires montures des Vierges de Bataille de la famille Otaku. (...)
Durant l'année 223, un éboulement coupa le chemin du retour vers Rokugan et força Shinjo à disperser sonclanen quatre grands groupes chargés de rejoindre l'Empire par leurs propres moyens. Elle parvint à fractionner le miroir magique offert par sa soeur Doji en quatre parties et en conserva une, alors qu'elle prenait la tête d'un quart duclanet que chacun des trois autres groupes recevait son propre fragment. Ainsi, ceux qui trouveraient le chemin du retour pourraient communiquer avec les autres groupes. (...)
On situe cette mort en 442 du calendrier impérial. Après bien des atermoiements, les héritiers de Shinjo décidèrent de rebaptiser leurclanqui devint la Licorne et après avoir erré encore plusieurs générations, ils entamèrent le long périple de retour vers l'Empire d'où leur déesse et leurs ancêtres étaient venus et qu'ils atteignirent en l'an 815, près de huit siècles après que Shinjo en ait franchi les frontières. (...)
Dame Otaku : Parmi les premiers suivants du kami Shinjo, Otaku fut reconnue par tous comme la plus loyale, ce qui est d'autant plus paradoxal qu'elle n'eut jamais à affirmer ou dire quoi que ce soit à ce sujet. Les contes de sonclandisent que la cavalière Otaku était une femme silencieuse, qui n'ouvrait que très rarement la bouche et préférait que ses actes parlent par eux-mêmes. (...)
Et ce qu'elle dit ne figure pas dans le texte de la pièce ce qui fait qu'à part Kuojin et les acteurs qui emportèrent ce petit secret dans leur tombe, nul ne sait quelles furent les seules paroles d'Otaku. Bien que cette pièce ait été écrite des siècles après la mort d'Otaku et par un étranger auclan, de nombreux samurai de la Licorne et plus particulièrement de la famille Otaku lui donnent une valeur quasi-historique. (...)
Il portait le daisho comme tous les samurai mais le confiait toujours à un suivant lorsqu'il se rendait à une négociation ou une entrevue avec des étrangers auclan. On admet couramment qu'il ne se servit sans doute jamais de ses armes. Sur le tard, il épousa Dame Otaku à la surprise générale et ils eurent plusieurs enfants dont Otaku Shiko et Ide Gokun. (...)
Lorsque Ide et ses disciples suivirent Shinjo dans son long périple, c'est l'esprit ouvert du diplomate qui permit d'éviter de nombreux affrontements ou de conclure des pactes mutuellement avantageux avec les peuples que leclande la Ki-rin croisa sur sa route durant ses premières décennies d'errance. Ses enfants (on lui attribue plusieurs filles et garçons en dehors de Shiko et Gokun) poursuivirent pour la plupart la voie qu'il avait entreprise et jouèrent un rôle essentiel dans la survie et la prospérité de leurclan. Iuchi : Bien qu'il ait été un shugenja des plus compétents, on ne saurait dire de qui Iuchi fut l'élève. (...)
Durant toute son existence, Iuchi semble avoir été un esprit des plus curieux, un intellectuel et un chercheur mais également un mystique. Les premières années de voyage duclande la Ki-rin, Iuchi et les siens découvrirent que la magie des kami pratiquée par les shugenja n'était pas la seule manière de faire appel aux forces surnaturelles. (...)
Entre l'humble prière rokugani et l'orgueilleuse incantation des sorciers gaijin, Iuchi mit au point une forme de 'pétition' à l'adresse des kami, une formule ritualisée liant courtoisie et connaissances techniques, révérence religieuse et astuce profane. Iuchi était un homme plutôt modeste malgré la renommée dont il jouissait dans sonclanet en tous cas certainement plus humble que nombre des prêtres et magiciens gaijin qu'il rencontra durant sa très longue vie. (...)
Cette découverte fut transmise à son meilleur disciple, Iuchi Tsubei, et fut à l'origine de la magie Meishozo, la magie que les shugenja de la Licorne invoquent à travers des talismans de pouvoir sur lesquels sont inscrits les mots qui lient les esprits à la volonté des hommes. Il est à noter que Daitan, le wakizashi ancestral duclande la Licorne, était celui de Iuchi à l'origine. Il l'offrit à sa dame lorsque celle-ci remit son propre wakizashi à l'Empereur comme le firent ses frères et soeur. (...)
C'est lui qui aurait parait-il permis à Shinjo de fractionner son miroir magique durant l'année 223, afin que les groupes de sonclandispersé puissent continuer à communiquer. Les contes duclande la Licorne mentionnent que plusieurs personnages légendaires qui accompagnèrent Shinjo (Iuchi donc mais aussi Ide et sa fille Otaku Shiko) jouirent ainsi d'une vigueur et d'une jeunesse surnaturelles. La véracité de ces contes reste à établir et s'ils sont fondés, ils reste également à trouver une explication à ce miracle. (...)
Cependant, une hypothèse existe bel et bien, comme on le verra en étudiant la vie d'Otaku Shiko. Moto : Durant la première année du voyage de Shinjo, sonclantraversa le terrible désert des Sables Brûlants et fut attaqué par les cavaliers barbares Ujik-hai. (...)
Ceux-ci furent repoussés et s'enfuirent, effrayés par les prouesses martiales des étrangers et par la prestance divine de Shinjo qui avait décapité leur chef. Cependant, la nuit qui suivit la bataille, plusieurs barbares se rendirent au campement duclande la Ki-rin pour parler avec Shinjo. Et lorsque l'aube survint, ces maraudeurs barbares avaient décidé de suivre la soeur de Hantei. (...)
On ne sait pas exactement qui était le nomade Moto bien que ses descendants prétendent qu'il fut le chef de ceux qui entrèrent au service de Shinjo. Comme le meneur des barbares qui avait attaqué leclande la Ki-rin était tombé face à la soeur de Hantei pour être remplacé par son fils, d'aucuns considèrent que ce fils et Moto étaient le même homme. (...)
Lorsque le barbare finit par s'éteindre, Shinjo lui rendit hommage en léguant son nom à tous ses suivants, pour faire d'eux la quatrième famille duclan. Légendes de la famille Iuchi : Iuchi Atesoro : Les chroniques de la famille Iuchi donnent à penser qu'Atesoro fut le premier enfant né en leur sein qui choisit la voie du bushi et non celle du shugenja. (...)
Celui ci découvrit avec étonnement que les rokugani n'avaient jamais vraiment intégré le potentiel de leurs shugenja au sein de leurs armées. Même leclandu Phénix (le plus versé dans les mystères des kami) et celui du Crabe (le plus souvent confronté à des ennemis contre lesquels la magie était indispensable) n'avaient que des tactiques fragmentaires, qui résultaient le plus souvent des choix personnels de leurs shugenja. A l'inverse, leclande la Licorne avait souvent combattu contre des ennemis qui n'étaient pas liés aux mêmes traditions militaires et leur adaptabilité les avaient souvent sauvés de la défaite. (...)
Les autres clans subirent un certain nombre de cuisants revers de ce fait et intégrèrent (le plus souvent à contrecoeur) certaines des notions de Morijiro. Bien que leclande la Licorne reconnaisse la valeur des enseignements d'Akodo ou d'Ikoma, il accorde une place particulière à Morijiro parmi les augustes stratèges cités en exemple aux futurs officiers. (...)
Iuchi Nagol : Contrairement à ce que l'on pense, l'homme responsable de la création d'une famille mineure n'est pas toujours quelqu'un dont le souvenir puisse être honoré. C'est précisément le cas de Nagol, qui vécut le retour duclande la Licorne dans l'Empire. Nagol menait un groupe de recherches qui travaillait sur des formes de magie gaijin apparentées à ce que les rokugani appellent la maho. (...)
Malgré l'horreur de leurs révélations, les étudiants furent épargnés par le daimyo, qui décida plutôt d'utiliser leur zèle et leur honnèteté afin de protéger leclan. Ainsi fut créée la famille Battue, qui a pour tàche de rassembler le plus d'informations possibles sur la corruption de la magie du sang telle que les rokugani la connaissent. (...)
Iuchi Tsubei : Le meilleur élève du grand Iuchi, Tsubei fut chargé par son maitre déjà très âgé de prendre sa suite et de former aux arts magiques les futurs shugenja duclan. Comme son maître avant lui, il déploya de considérables efforts pour tirer le meilleur parti des secrets ésotériques gaijin. (...)
Légendes de la famille Moto : Martazera : Membre du peuple Ujik-hai, la vieille Martazera fut au nombre de ceux qui suivirent leclande la Ki-rin après leur première rencontre désastreuse. Au sein de son peuple, elle était une conteuse renommée et elle s'avéra être une véritable mine d'enseignements de toutes sortes pour Shinjo. (...)
Martazera devint également une grande amie de la jeune conteuse Shinjo Yotoko bien que la vieille femme soit aussi éxubérante et portée à l'exagération que sa jeune comparse subtile et modeste. Toutes deux sont probablement à la source de la très riche tradition orale duclande la Licorne et du caractère si exotique de ses nombreux contes. C'est également à l'amitié entre Martazera et Shinjo que l'on doit certainement la coutume des Licornes d'embrasser les usages de ceux qu'ils rencontrent pour les intégrer à leur conception du bushido, ce qui a donné au cours des siècles un mélange vraiment unique de traditions rokugani sur lesquelles se sont greffées une multitude d'apports extérieurs. (...)
Depuis cette époque, les descendants spirituels de la conteuse barbare continuent à exercer une grande influence au sein duclanen tant qu'historiens, professeurs et conteurs. A l'encontre de la plupart des traditions professorales rokugani, Martazera et ceux qui suivirent sa voie forment l'esprit critique de leurs élèves et veillent à leur apprendre à la fois ce qu'ils doivent savoir et pourquoi ils doivent le savoir. Moto Chai : Leclande la Licorne, comme on peut le supposer, abonde en légendes concernant les exploits de ses cavaliers. (...)
Le plus étonnant, c'est le nombre incroyable de légendes et de hauts faits concernant Chai alors qu'il mourut à l'âge de vingt-six ans seulement. Son décès est également très présent dans la mémoire duclancar il fut forcé de faire seppuku durant l'année 619, lorsqu'il refusa pour la troisième fois d'accepter la promotion que voulait lui offrir son général. (...)
Celui-ci se sentit insulté par les déclarations de Moto Chai qui prétendait qu'en menant sa propre unité il serait moins utile auclanet ne pourrait plus utiliser ses talents. Il ordonna donc au cavalier légendaire de s'ouvrir le ventre mais lorsque leur seigneur apprit cela, il ne cacha pas son dépit de voir un homme aussi utile mourir de manière aussi stupide. Le général de Chai reçut à son tour l'ordre de cesser de porter atteinte à l'honneur duclan. Mais contrairement à Chai, son nom ne lui survécut pas car les historiens duclanobéirent à leur seigneur qui voulait que toute trace de cet homme disparaisse. Moto Khatalan : Fille de Moto Chai, Khatalan était une légende avant même de passer son gempukku et sa beauté n'égalait que ses talents athlétiques. (...)
Une fois adulte, elle égala rapidement les exploits de son père et devint vite une des jeunes filles les plus convoitées par tous les célibataires de sonclan, ainsi que par de nombreux seigneurs de tribus voisines. Lorsque son daimyo lui demanda de songer à prendre un époux respectable, Khatalan lui rit au nez et répondit qu'elle n'accepterait pour époux qu'un homme capable de surpasser ses dons de cavalière dans une course. (...)
Un seul prétendant, un seigneur des plaines du nom d'Onshigawa, se présenta alors devant Khatalan. Leur course légendaire continue à marquer les contes et les poèmes duclande la Licorne car pendant des heures et des heures, Onshigawa ne parvint pas à rattraper la jeune Khatalan qui ne put quant à elle semer son prétendant. (...)
A la surprise générale, elle déclara alors que pour compenser le fait qu'aucune alliance ne pourrait ainsi voir le jour par son mariage, elle offrait à sonclantoutes les montures qu'elle avait gagné durant les courses contre ses prétendants. Impressionné, le seigneur de Khatalan lui donna son assentiment et lui accorda également le droit de fonder une famille vassale. (...)
Khatalan ne se maria jamais, comme elle l'avait souhaité, mais ceux qui perpétuèrent la lignée Onshigawa continuent à honorer sa mémoire et celle de son prétendant. Ils mirent un point d'honneur eux aussi à devenir des cavaliers émérites dans unclantrès porté sur l'équitation et la plupart s'avérent également doués pour toutes les formes de prouesses physiques. (...)
Cependant, il stupéfia ceux qui le connaissaient lorsqu'il s'obligea à vivre selon le bushido à une époque ou l'intégration des siens dans leclanen était encore à ses balbutiements. Ses efforts, son intransigeance vis-à-vis de ces nouvelles valeurs qu'il embrassa sans hésiter et son courage personnel incroyable sur le champ de bataille le firent remarquer de Shinjo ellemême. (...)
Bien que cette nomination ait causé une certaine perplexité, la majorité des Ki-rin et des Ujik-Hai prirent la chose comme il fallait et très rapidement, Moto Soro devint un exemple pour ses frères de race et un symbôle pour soncland'adoption. Durant les siècles qui suivirent, l'exemple de son dévouement total contribua à façonner la volonté et le courage des guerriers de la famille Moto. (...)
Ses parents qui étaient restés dans l'Empire se précipitèrent malgré l'horreur qui les étreignait pour aider leclandu Crabe et finalement, l'armée corrompue fut repoussée. Malheureusement, Tsume et la plupart des damnés qui avaient autrefois été ses fidèles vassaux échappèrent à la colère de leurs parents. (...)
De nos jours, la famille Hyuga est encore en charge des écuries des Vierges de Bataille et exerce cette responsabilité sous la tutelle directe de l'époux du daimyo de la famille Otaku. Otaku Kuriko : Cette femme présidait à la destinée de sa famille lorsque leclande la Licorne retrouva sa place en Rokugan. Si les Licornes en général avaient des problèmes pour s'adapter à leur nouvelle nation, les Otaku et les Moto rencontraient davantage de difficulté que les autres familles, en particulier les Ide. (...)
Bien que ses descendants ne la considérent pas comme une des plus grandes guerrières de l'histoire des Otaku et qu'on ne lui connaît aucun exploit mémorable, elle reste pourtant très présente dans leur coeur pour cette raison. Otaku Naoko : Petite fille d'Otaku Shiko, Naoko naquit alors que sonclanvivait parmi les Ujik-hai. Elle adopta rapidement la plupart de leurs coutumes au point qu'on crut sans doute qu'elle finirait par cesser de respecter les enseignements de Shinjo, alors que plusieurs générations s'étaient écoulées depuis que leclanavait quitté l'Empire. Pourtant, lorsque Dame Shinjo décida que les Ki-rin devaient reprendre la route après près d'un siècle sur les terres Ujik-hai, Naoko fut parmi les premières à monter sur son cheval et à la suivre. (...)
Quand on lui demanda si elle comptait abandonner les coutumes des Ujik-hai comme elle les abandonnait eux-mêmes, elle répondit simplement 'Non. Serions-nous leclande la Ki-rin si nous ne parvenions pas à conserver ce que nous avons appris ?'. Ce qui rappela à de nombreux samurai pourquoi leurs prédécesseurs avaient quitté Rokugan. (...)
Si nombre de samurai de la Licorne usent de tactiques ou parfois même d'objets gaijin tout en respectant les édits impériaux, les Naoko sont réputés parmi leurs frères declanpour leur intérêt certain envers les connaissances et les techniques apprises des autres peuples. (...)
Ceux qui content son histoire disent par exemple que lorsqu'on lui demanda par la suite comment elle avait réussi à quitter la cité des sorciers elle aurait répondu 'ils n'avaient peut-être plus de coeurs mais pour le reste, ils étaient encore des hommes' avec un étrange sourire qui pouvait signifier bien des choses... Otaku Shiko : Fille de Dame Otaku et Ide, Shiko devint l'une des égéries de sonclandés son enfance, remarquable par sa beauté, son courage et sa nature conciliante. Elle n'était pas encore adulte lorsque sa mère se rendit dans l'Outremonde avec Shinsei mais elle l'était devenue lorsque Shinjo prit le départ trois ans plus tard. (...)
Elle apprit de la bouche de son père que Shinjo souhaitait qu'elle reste pour veiller sur les domaines duclanalors que lui accompagnerait leur kami. Et les conteurs de la Licorne évoquent encore la dispute que cela provoqua. (...)
Lorsque quelques années plus tard les barbares Ujik-hai prétèrent allégeance à Shinjo, Otaku Shiko fut la première également à adopter certains de leurs usages. C'est elle qui contribua à répandre dans sonclanl'usage des étriers Ujik-hai et qui s'en servit pour batir un véritable style de combat monté laissant libre les mains. (...)
Shiko vit alors que sa dame était enceinte et que sa vie ne lui appartenait plus car elle portait en elle l'avenir duclan. Et lorsque Shiko posa les yeux sur les enfants de Shinjo quelques mois plus tard, elle confessa humblement qu'elle ne pourrait prendre la vie de la mère d'enfants si magnifiques. (...)
C'est ainsi que Shinjo jura à la fille d'Otaku qu'elle reviendrait toujours... En 223, Otaku Shiko prit le commandement d'une partie duclanlorsqu'il fut forcé de se disperser mais elle ne vécut qu'une quinzaine d'années après cela et ces mêmes contes qui parlent de son exceptionnelle jeunesse disent que ces quinze années furent marquées par un vieillissement accéléré. (...)
Relevant le défi, Inejiro usa de son influence et de sa richesse considérable pour entreprendre aussitôt la construction d'une cité au beau milieu des terres de sonclan, Oshindoka Toshi. Le père de Kakita Umeki fut impressionné et annonça qu'il entérinerait les fiançailles des deux jeunes gens aussitôt la cité terminée. (...)Ce fichier s'intéresse à des personnages historiques plus ou moins célèbres, du point de vue de leurs descendants. Il est donc en priorité destiné aux joueurs, notamment afin de les aider à mieux cerner ce que leurs allégeances représentent, voire à choisir un de ces personnages historiques comme Ancêtre avec l'approbation du maitre de jeu. Il convient donc de rappeler que les informations présentées ici ne sont pas forcément exactes, ou complètes. Elles ne font que refléter les connaissances ...