Dieu et le Roi !
sur Toc : Trouver Objet Caché au format
Ce scénario a été élaboré pour la convention de jeux de rôles et de simulation organisée par la section jeux de rôles de la MJC de la fondation Lagrange à Quetigny près de Dijon en Cote D'Or. Cette manifestation eut une courte existence puisqu'il n'y eut que cinq éditions : en 1992, 1993, 1994, 1995 et 1996 toujours pendant les vacances de la Toussaint. Elle a connu cependant de suite une grande popularité et rassembla selon les années de 200 à 350 joueurs et joueuses. Cette convention comportait ...Contient : bleus (10)(...) - NETHARG VIROM THERESPHOT !!! » Splatshhhh.... « - Retourne en enfer ! - Kerenflech, Du Faou ! Vite voilà lesbleus! Dans le bois nous n'avons pas d'autre choix ! Courrez !!! » Quelques semaines plus tard, dans la nuit du 16 février 1800 à Alençon... « - Avant l'exécution avez-vous une dernière volonté Frotté ? (...)
De l'avis de beaucoup de soldats et de chefs vendéens qui les approchèrent pendant cette campagne, c'était là les plus terribles, les plus acharnés des antirépublicains... Ils parlaient peu, restaient à l'écart dans les bivouacs, se battaient dans un état second proche de la démence et ne faisaient jamais de prisonniers... il courrait sur eux des ragots assez terribles : cris atroces debleustorturés au coeur de la nuit... mutilations, crucifixions, chants étranges, peut-être même de la sorcellerie ! (...)
Ce dernier arrive juste à temps pour permettre à Frotté et à ses compagnons de s'enfuir. Mais ses hommes ne sont pas assez nombreux pour retenir longtemps lesBleus! Dans la bagarre, il leur donne un guide et leur ordonne de fuir pendant qu'il se sacrifie avec ses hommes pour couvrir leur fuite. (...)
Kerdaniel subit aussitôt le même sort et les trois autres s'enfuient, poursuivis par la malfaisance de tous les « habitants » du bois ! Une compagnie debleusles poursuit aussi. C'est un de ces animaux « habités » qui ramena fièrement la tête de Kerdaniel à notre Rabier. (...)
J'entendis de suite des portes s'ouvrir, des pas pressés et des appels. Toc, toc, toc... - Monsieur le Comte, Hâtez-vous ! Nous sommes trahis. LesBleussont dans la cour du Château ! Il faut fuir ! » (jet de santé mentale -1d3) « Malgré la situation, je répondis que j'arrivais de suite en constatant que j'étais en petite tenue datant au mieux d'il y a 100 ans ! (...)
Il y avait un petit nombre de ses hommes et les soldats d'en face paraissait si nombreux !!! Ces derniers étaient habillés de blanc et debleussurtout, et j'entendais clairement les commandements des officiers d'en face... - Première ligne à genou ! (...)
Commencez par des descriptions très inquiétantes du bois, le guide court devant, il fait nuit. Derrière, ils doivent aussi sentir la poursuite desBleus. Faites alors disparaître le guide. Laissez la panique les gagner et alors déchaînez-vous sur eux avec tous les habitants du lieu ! (...)
S'ils suivent le chemin, ils ne seront pas attaqués par les esprits malfaisants des habitants... S'ils coupent à travers bois déclenchez les mêmes attaques que lors de l'arrivée dans le bois... jusqu'à ce que la Mort les fauche ou qu'ils reprennent sagement le chemin. S'ils rebroussent chemin, faites bien entendre la progression desBleuset les ordres des officiers. S'ils persistent, ne faites pas de quartier : lesBleusne font pas de prisonnier... ou en tout cas s'ils le font, ils les alignent de suite et les fusillent sans autre forme de procès. Rabier s'est vengé et le scénario est fini. (...)
Mais l'homme Noir à toujours soif de sacrifice aussi nous l'avons appelé d'au-delà des étoiles... Voicy qui iroit au crédit de notre haine fanatique de la Convention et rehaussera notre prestige auprès de nos compagnons d'armes que [...] chaos sans visage étouffe [...] vous ont enrôlés de force [...] Armée [...] Parchemin recouvert presque totalement de « Sang » [...] choses sont mal et si cela continue [...] lesbleusseroient bientôt à Puy-Crapaud avec la réputation que la campagne de l'an passé nous valoit je n'ose imaginé leurs représailles... Le six avril de l'an mil sept cent quatre vingt et quatorze Hier [...] colonne infernale [...] tenté de [...] travers le bois mais les âmes des ancêtres les [...] sont revenus [...] malgré [...] veulent recommencoit de [...] bataillons [...] jamais ils n'atteindront Puy-Crapaud... Le sept avril de l'an mil sept cent quatre vingt et quatorze [...] j'avois [...] ils montent l'escalier [...] L'écriture change... Le vingt et un juin de l'an mil sept cent quatre vingt et quinze Moy Rabier suit le seul survivant avec la mère Cadiou... nous continuons d'appeler le maître. (...)